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Sextuor à cordes

Friedensgesang, chant pour la paix

Avec Emmanuelle Bertrand, violoncelle et Aurélia Souvignet Kowalski, alto

En 1889 est publié le manifeste « Bas les armes » (Die Waffen nieder !) devenu un bestseller mondial, par la grande militante pacifiste autrichienne Bertha von Suttner. Amie d’Alfred Nobel, elle l'encourage fortement à créer le Prix Nobel de la Paix dont elle sera elle-même la première femme lauréate en 1905. Evoquant l’infatigable Bertha von Suttner, c’est toute une vision du monde qui vient s'y greffer : la Vienne de 1905, année de composition du "Langsamer Satz" de Webern, une Vienne en pleine effervescence littéraire, intellectuelle, musicale ; la Vienne de Stefan Zweig, celle qu’il décrit dans « Le Monde d’hier », la Vienne ouverte, curieuse, créative, rêvant d’Europe ; celle qui porte en héritage Beethoven et Brahms, celle de Freud, Schnitzler, Rilke.

Webern : Langsamer Satz

Beethoven : quatuor n°16 op. 135

Brahms : 2e sextuor à cordes op. 36 OU Schönberg : La Nuit transfigurée

Emmanuelle Bertrand © Philippe Matsas
Aurélia Souvignet Kowalski  © DR